Cath, c’est une des grandes spécialistes des recettes à IG Bas (Indice Glycémique Bas). Avec elle, la cuisine n’est ni fade, ni triste, ni ennuyeuse, bien au contraire. Elle est gourmande, ludique, sympathique et bonne pour la santé.
La semaine qui s’annonce va être chargée, encore plus que d’habitude mais je ne me laisse pas abattre et je me suis prévu – quand même – quelques petits plaisirs en cuisine 🙂
Je vous propose de découvrir une recette haute en couleur et forte en caractère, simple, gourmande et ce qui ne gâche rien petit budget !
Autant vous prévenir tout de suite, palais et estomacs sensibles, s’abstenir ! Ceci est une recette incendiaire, qui va vous mettre le feu aux papilles, vous faire pleurer les yeux et vous donner chaud partout ! Bref, une recette parfaite pour affronter les rigueurs de l’Hiver 😉
C’est une recette estampillée Gordon Ramsay et issue de son émission « Les 100 recettes incontournables de Gordon Ramsay », programme sur lequel je suis tombée par hasard pendant que j’étais malade. J’ai ensuite cherché sur le net pour trouver les proportions, mais sans succès. J’ai juste trouvé un slider reprenant les étapes, mais ce n’est pas ça qui m’a arrêté 😉
Le seul souci c’est que désormais, les pommes de terre avec leur indice glycémique de 95 sont exclues de la donne et il faut que je trouve d’autres options pour me régaler.
Pour l’instant, comme je l’expliquais dans unbillet précédent, je fais mes gammes à partir d’un seul ingrédient auquel j’ajoute un oignon + un petit quelque chose.
Dans le cas de ce velouté, ce sont les épices qui sont entrées dans la danse, pour le plus grand bonheur de nos papilles !
Pour ces dernières, je suis allée piocher mon inspiration vers le Maghreb, ses belles saveurs et ses jolies couleurs.
Le résultat a été un potage à indice glycémique bas, gourmand, velouté, coloré, doucement épicé et totalement dépaysant 🙂
Je me traine lamentablement, je me fatigue très vite et j’ai beau me reposer tous les après-midi, j’ai l’impression de faire du surplace … mais bon, je suis sur mes deux pieds, et ce n’est déjà pas si mal 😉
Côté cuisine, je me contente du strict minimum. J’ai des envies de fruits frais et de salades, bref, d’un régime alimentaire estival plus qu’hivernal. Pas évident de gérer ce type d’envie, d’autant plus que vous commencez à me connaitre, je suis une consommatrice plutôt responsable, les Fruits et légumes de saison sont à l’honneur sur ma table et je ne déroge pas à la règle !
En attendant les orgies de fraises et de tomates gorgées de soleil, je vous propose de vous laisser tenter par ce petit cocktail hyper vitaminé relevé d’une touche de gingembre frais.
Encore une jolie recette qui m’a fait craquer et que j’ai adaptée à nos nouvelles contraintes. Elle m’avait fait de l’œil cet été dans le ♥ Club Praline ♥ quand ♥ Mylie ♥ l’a publiée et je l’avais mise de côté en attendant la saison des poires.
Je ne regrette pas d’avoir attendu pour succomber 🙂
Ça faisait un moment que j’avais envie d’ailes et de pilons de poulet caramélisés, en fait, depuis que j’avais reçu le joli livre des Éditions Solar « Apéros Dînatoires » de Véronique Cauvain (Collection Je cuisine avec Masterchef). Sa recette m’avait fait saliver d’envie, mais pas moyen de la réaliser à cause de la présence dans les ingrédients de cassonade et de sauce soja sucrée
A force de tourner et retourner le problème dans tous les sens, j’ai fini par me lancer et mettre au point une recette qui nous a permis de nous régaler et en ce qui me concerne, de ne pas rester frustrée avec mon envie. Finalement, avoir de nouvelles contraintes permet de se creuser un peu la tête et de réinventer sa manière de cuisiner 🙂
Mais vous ne perdez pas au change et en plus, je vous mets en fin de billet la recette de Véronique Cauvain. 🙂
Je vous propose une de mes petites recettes fétiches, que je décline volontiers pour le dîner, en fonction de ce que j’ai dans mon placard et dans mon réfrigérateur. Accompagnée d’une petite salade croquante et bien relevée, j’adore !
Une de mes premières angoisses lors du changement de mode alimentaire, gourmandise oblige, ça a été de me dire « Adieu crêpes, muffins, chocolat et p’tites douceurs ! » De là à voir le retour de L’Antichambre de l’Enfer il n’y avait qu’un pas que j’ai failli franchir en m’essuyant les yeux avec un coin de mon tablier. Déprime assurée, grincements de dents en prime et même une bonne partie de Serious Sam III (un FPS) n’aurait pu me permettre d’évacuer mon stress.